Infographie réalisée en collaboration des groupes Recherche & Systémique et Artivisme, à partir des données de l’IBPES

Industrie de la pêche

33%
En 2011, 33% des prises de poissons dans le monde sont signalées comme étant illicites, c'est-à-dire non déclarées ou non conforme à la réglementation.
70%
des bateaux de pêche sont impliqués dans la pêche illicite, non déclarée et non réglementée soutenue par des fonds qui transitent par des paradis fiscaux.
55%
Plus de 55% de la surface des mers et des océans est exploitée par la pêche industrielle
En 2015
33%
En 2015, 33% des stocks de poissons marins étaient exploités à un niveau biologiquement non durable.
60%
étaient exploités au maximum pour garantir la durabilité du milieu.
7%
pouvaient être exploités davantage tout en garantissant la durabilité.
10%
Moins de 10 % des pêcheurs professionnels mondiaux représente 50 % des prises mondiales, les 90% restant relèvent de pêche à petite échelle.

Destruction des écosystèmes marins

400
écosystèmes côtiers occupant plus de 245 000 km² sont des zones mortes, à faible teneur en oxygène à cause des engrais.
Entre 1970 et 2000, l'étendue des prairies sous-marines, fondamentales pour la fixation des sols marins, la qualité de l'eau et la richesse des écosystèmes, a diminué de plus de 10% par décennie.
10%
On estime que la production primaire nette des océans devrait diminuer entre
3 et 10%
d'ici la fin du siècle.
100 à 300 millions de personnes
de personnes vivant en zone côtière sont menacées par la disparition de la protection des habitats côtiers.
57%
des subventions pour le renforcement des capacités peuvent avoir un impact négatif sur la nature, sur un montant de 35 milliards de dollars US consacrés à des mesures de soutien pour la pêche
environ
50%
de couverture des récifs coralliens a disparu depuis
1870

Politique de conservation

29%
de réduction moyenne du risque d'extinction dans 109 pays grâce aux investissements pour la conservation réalisé de 1996 à 2008.
Sans ces actions de conservation au cours des dernières décennies, au moins
20%
des oiseaux, mammifères et amphibiens se seraient éteints